Partez à la découverte de Jemelle ?
Munissez-vous de votre smartphone et activez la géolocalisation et vos données cellulaires et partez à la recherche de nos balises virtuelles cachées dans Jemelle !
Connaissez-vous bien Jemelle ?
Question n°1 :
Quelle était l’utilité de ces « Alcôves » que l’on retrouve au bout de la rue du Congo et à la rue des Carrières ?
Question n°2 :
Connaissez-vous cette chapelle et sa localisation ? Connaissez-vous son histoire ?
Question N°3
Nous disposons de nombreuses statues à Jemelle. Il y a également des potales comme sur cette photo ? Savez-vous qui est représenté et où est située cette potale ?
Question n°4 :
Dans quelle rue de Jemelle, cette photo a-été prise ?
Qui a construit ces maisons ?
Cette rue a eu plusieurs surnoms. Les connaissez-vous ?
Question n°5 :
Dans quelle rue, ces photos ont été prises ? Combien de maisons (avant 1864) étaient présentes dans cette rue et à qui appartenait-elle ?A l’époque, cette rue avait aussi une autre fonction ? La connaissez-vous ?
Question 6 : où se trouve cette potale ?Pour les plus fort, savez-vous où elle était placée avant ?
Question 7 : où se trouve ce bâtiment ? Quel est le métier de l’ancêtre de la famille et où s’installe-t-il ? Lors de l’arrivée du chemin de fer, des descendants vont construire et exploiter un hôtel ; où est-il situé ?
Réponse 1 :
« C’est en fait un mur de soutien des terrassements réalisés lors de l’élargissement de la gare au début du XX° siècle. Les ouvertures permettent de diminuer la pression sur les murs et l’évacuation des eaux. C’est la même technique qui a été utilisée le long du talus de la rue des Carrières (à la même époque : agrandissement de la gare de Jemelle entre 1907 et 1914« .
JL.Fivet
Réponse 2 :
« Quand leur petite Alice eut la méningite, Victor Everard de Harzir et son épouse Caroline Wauvermans prièrent Notre Dame de Lourdes, l’enfant fut sauvée et exempte de séquelles.
En remerciement, ils construisirent en 1875, dans le parc de leur château de la Sapinière, cette chapelle ( le Domaine de Harzir de l’Athénée de Jemelle) .
Au début du XIX siècle, de nombreux pélerins y venaient, la procession de la Pentecôte y aboutissait.
Les voyageurs qui attendaient la correspondance pouvaient s’y rendre pour prier et méditer… De là, ils pouvaient voir les rails, la gare et les trains arriver.
Aujourd’hui, ce sont surtout les élèves de l’Athénée qui s’y retrouvent… »
Réponse 3 :
Il s’agit de la potale de la Vierge et de l’enfant qui se situe au carrefour des rues de la Lhomme, des Récollets et Salvé. Sculpture de Louis Noël achetée par le SI Jemelle (avec, encore à l’époque Guy Mullens, comme président) et inauguré en 2010.
On appelait cet endroit « les trois tilleuls » (il y avait trois tilleuls, abattus parce que malades)
Voici une photo de l’endroit au début du XX°
Réponse 4 :
Ce millésime se trouve en façade de la maison sise au N° 16A de la rue des Carrières.
Ces maisonnettes en pierres calcaires forment un ensemble caractéristique dans cette rue. Elles ont été construites par Mr Henri Stocq qui avait acquis la carrière de laquelle il a extrait les pierres qui ont servi pour la construction de ces maisons et aussi pour les soubassements de l’hôtel LENOIRE, qui deviendra, entre autres, la Maison communale de Jemelle et qui abrite maintenant le Centre du Rail et de la Pierre (nous vous encourageons d’ailleurs à le visiter, pendant les vacances de Pâques par exemple !).
Les aînés racontent que la rue s’appelait la rue da (de, en wallon) Stocq ; d’autres disent qu’elle s’appelait ainsi parce qu’elle était à stock (à côté) du chemin de fer.
On l’aurait aussi appelé rue de l’épingle (mais ça, c’est une autre histoire !)
Encore un mot : Mr Stocq fut bourgmestre de Jemelle de 1872 à 1878 et de 1882 à 1885.
Réponse 5 :
Ces maisons se trouvent à la rue du Maurlet.
Voici ce qu’on peut lire sur le Maurlet dans une description ancienne du lieu (avant l’arrivée du chemin de fer) : Le Maurlet n’était qu’un vaste champ sauvage couvert de genêts et de buissons. Trois petites maisons seulement, occupées par les familles Vigneron, Losselet et Martin. Un chemin conduisait de l’église jusque là.
Lors de la construction de la première partie de l’église actuelle, on a installé le cimetière sur un terrain appartenant à Mr Peterson et qui se trouvait à l’angle des rues du Maurlet et Joseph Wauters, l’acquisition du terrain date de 1864. Ce cimetière devient bien vite trop petit et un nouveau cimetière sera installé à son emplacement actuel sur terrain cédé gratuitement à la Commune par Mr Everard en 1875.
Réponse 6 :
A l’entrée de la rue des Jardins.
Ce qu’on sait moins souvent, c’est que cette potale à saint Antoine se trouvait à l’origine sur un terrain qui sera exproprié pour le passage du chemin de fer.
Lors de la création de la rue des Jardins, il avait de nouveau été question de la déménager !
Réponse 7 :
ll s’agit de la chapelle Notre-Dame de Grâces à l’entrée de l’avenue de Ninove, en face du Centre du Rail et de la Pierre.
– La famille Ledoux arrive à Jemelle au XVIII° siècle. Lambert-Joseph Ledoux va exploiter le moulin alors situé au bas de la rue du Maurlet, en face de la ferme à côté de l’église.
– Lors de l’arrivée du chemin de fer, des descendants vont construire et exploiter un hôtel à l’angle de la rue des Marchandises et de l’avenue de Ninove, l’édifice est mieux connu sous le nom de « Maison Radelet »
Plus d’informations sur la chapelle, le moulin, l’hôtel dans les cahiers du SI :
– 2013 : Jemelle, une histoire d’eaux aussi ;
– 2017 : La chapelle Notre-Dame de Grâces.